Sensible aux mobilisations, elle s’intéresse particulièrement à la convergence des luttes, c’est ainsi qu’elle suit le ralliement des queers et des gilets jaunes, ou encore aux liens entre écologie et mouvements LGBT.
Membre de l’association Mémoires des sexualités, elle participe à la documentation de l’histoire communautaire contemporaine avec le soutien de l’ADAGP.

En 2022, elle fait partie des 200 lauréates de la Grande Commande Photographique, pilotée par la Bibliothèque Nationale de France et le Ministère de la Culture. Elle travaille sur les personnes minorisées et les militantes féministes. Vous pouvez consulter la page de ce projet « Discriminé.e.s: le besoin de faire communauté ».

Le travail de Gaëlle Matata est indissociable d’un engagement profond envers la lutte pour l’égalité des groupes minorisés. En 2025, sa première exposition solo Déchiré.e.s a lieu à Marseille tandis que son travail est exposé au musée marseillais de la Vieille Charité à l’occasion de Tatouages. Histoires de la Méditerranée. Elle montre également sa série Amimours dans le cadre du OFF des rencontres de la photographie d’Arles et en profite pour faire un point sur sa pratique lors d’une présentation au prix Mentor organisé par l’association Freelens