Durant mon voyage en Chine, j’ai remarqué que malgré l’absence évidente de pluie, beaucoup s’encombraient d’un parapluie.
J’ai rapidement compris qu’il n’est pas de très bon ton d’avoir le teint halé au pays de Mao. La blancheur est de rigueur, le ridicule ne tue pas et l’ombrelle fait son retour dans les cours impériales.
La « skin-lightening economy » (les industries liées au blanchiment de la peau) n’a qu’à bien se tenir, les parapluies attaquent en masse !